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boeing-737MAX

A Gennevilliers, sur ce site de forge, fonderie et d’usinage, la coupe est pleine. Après la délocalisation au Mexique et la diminution d’effectif pour les Fan (les soufflantes des moteurs), les conséquences de la crise de Boeing (fin de contrat des intérimaires, gel des embauches), la mise à mal du nouvel accord « Travaux pénibles », le hold-up de la gestion des RTT par la direction, voilà que sous prétexte de solidarité, une partie de la charge de travail est transférée en Pologne, au Mexique et en Chine !

Et que dire de la volonté de la direction de Gennevilliers d’envoyer l’expertise des pièces en radio au Mexique… le cœur de métier de l’établissement ?!

Pour FO, plutôt que de profiter de la crise du 737 MAX pour délocaliser et réduire les droits des salariés en France, la société pourrait en faire une opportunité afin :

>> De renforcer les compétences du personnel et assurer la transmission des savoir-faire avant les départs en retraite ;

>> D’investir sur l’avenir pour améliorer la maintenance et les moyens de productions ;

>> De développer la recherche en partenariat avec Safran Tech, le centre de Recherche & Technologie du Groupe.

Lire le tract FO :

 gennevilliers-02-2020

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