Malgré ce satané virus nous avons continué à bosser. Les uns sur des activités dites « essentielles » en devant s’exposer au risque d’être contaminés. D’autres en télétravail dans des logements trop petits avec parfois les enfants sur les genoux et des horaires qui ont explosé.
Pour passer la crise, nous nous serrons la ceinture : perte de rémunération avec le chômage partiel, quasi-gel des salaires en 2021, gel de l’intéressement, des abondements et de la retraite supplémentaire. Plus de 580 salariés ont aussi accepté un détachement ou une mobilité pour ne pas rester en inactivité.
Ces restrictions consenties pour sauver tous nos emplois en France sont acceptables dans la mesure où les efforts sont partagés par tous.
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